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Issam se fais bonze
11/08/2009 14:02
Sur une plage au soleil couchant
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Seul, sur la plage.
Avec comme seul bruit
Celui des vagues.
Mes pensé figer
Une illusion, un rêve
Celui que tu soit là
Seulement toi et moi sur cette plage.
Main dans la main
Je te prend dans mes bras
Pour que tu n'est pas froid
Te dévorent du regard
Assit sur cette plage
En regardent le soleil se coucher.
Te disant tous se que tu peux représenter pour moi
Ce rêve sera t'il réalité je ne sais pas
Seulement cette pensé
Qui envahit mon coeur tous les soir.
Pas une nuit n'est passer
Sans que tu soit dans mes pensé
Un jour j'aimeré qu'il devienne
Enfin une réalité.
Toi amour de ma vie.
Producteur : lune75
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Issam sur la plage
11/08/2009 15:09
Passé, Présent , Futur
Les yeux levés vers ce ciel étoilé Avec cette lune aux doux reflets Je laisse vagabonder mes pensées Pour revivre un instant mon passé
Il est bien long ce chemin parcouru Quelques fois comme dans un rêve Entrecoupé de longues trêves Que de joies ressenties, mais trop souvent déçue
Si l’on pouvait revenir en arrière Ne plus mettre ses horribles œillères Qui nous cachent tous ces dangers Sur le chemin de nos vies, cachés
Sans doute ferions-nous les mêmes erreurs C’est par leur mal que l’on apprend Mais surtout n’oublions pas le bonheur Cadeau de la vie , venue d’un enfant
Pourquoi vivre au passé ? Nos rides l’ont tracé Pourquoi vivre au futur ? L’avenir n’est plus très sur Profitons seulement du présent Et vivons pleinement ce
Produis par Lune75
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Issam sur la plage
11/08/2009 16:06
La fleur de eau
L'air est plein d'une odeur exquise de lilas, Qui, fleurissant du haut des murs jusques en bas, Embaument les cheveux des femmes. La mer au grand soleil va toute s'embraser, Et sur le sable fin qu'elles viennent baiser Roulent d'éblouissantes lames.
O ciel qui de ses yeux dois porter la couleur, Brise qui va chanter dans les lilas en fleur Pour en sortir tout embaumée, Ruisseaux, qui mouillerez sa robe, O verts sentiers, Vous qui tressaillerez sous ses chers petits pieds, Faites-moi voir ma bien-aimée!
Et mon cœur s'est levé par ce matin d'été; Car une belle enfant était sur le rivage, Laissant errer sur moi des yeux pleins de clarté, Et qui me souriait d'un air tendre et sauvage.
Toi que transfiguraient la Jeunesse et l'Amour, Tu m'apparus alors comme l'âme des choses; Mon cœur vola vers toi, tu le pris sans retour, Et du ciel entr'ouvert pleuvaient sur nous des roses.
Quel son lamentable et sauvage Va sonner l'heure de l'adieu! La mer roule sur le rivage, Moqueuse, et se souciant peu Que ce soit l'heure de l'adieu.
Des oiseaux passent, l'aile ouverte, Sur l'abîme presque joyeux; Au grand soleil la mer est verte, Et je saigne, silencieux, En regardant briller les cieux.
Je saigne en regardant ma vie Qui va s'éloigner sur les flots; Mon âme unique m'est ravie Et la sombre clameur des flots Couvre le bruit de mes sanglots.
Qui sait si cette mer cruelle La ramènera vers mon cœur? Mes regards sont fixés sur elle; La mer chante, et le vent moqueur Raille l'angoisse de mon cœur.
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Issam sur la plage
11/08/2009 16:06
Fleur d'eau
L'air est plein d'une odeur exquise de lilas, Qui, fleurissant du haut des murs jusques en bas, Embaument les cheveux des femmes. La mer au grand soleil va toute s'embraser, Et sur le sable fin qu'elles viennent baiser Roulent d'éblouissantes lames.
O ciel qui de ses yeux dois porter la couleur, Brise qui va chanter dans les lilas en fleur Pour en sortir tout embaumée, Ruisseaux, qui mouillerez sa robe, O verts sentiers, Vous qui tressaillerez sous ses chers petits pieds, Faites-moi voir ma bien-aimée!
Et mon cœur s'est levé par ce matin d'été; Car une belle enfant était sur le rivage, Laissant errer sur moi des yeux pleins de clarté, Et qui me souriait d'un air tendre et sauvage.
Toi que transfiguraient la Jeunesse et l'Amour, Tu m'apparus alors comme l'âme des choses; Mon cœur vola vers toi, tu le pris sans retour, Et du ciel entr'ouvert pleuvaient sur nous des roses.
Quel son lamentable et sauvage Va sonner l'heure de l'adieu! La mer roule sur le rivage, Moqueuse, et se souciant peu Que ce soit l'heure de l'adieu.
Des oiseaux passent, l'aile ouverte, Sur l'abîme presque joyeux; Au grand soleil la mer est verte, Et je saigne, silencieux, En regardant briller les cieux.
Je saigne en regardant ma vie Qui va s'éloigner sur les flots; Mon âme unique m'est ravie Et la sombre clameur des flots Couvre le bruit de mes sanglots.
Qui sait si cette mer cruelle La ramènera vers mon cœur? Mes regards sont fixés sur elle; La mer chante, et le vent moqueur Raille l'angoisse de mon cœur.
Lune75
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